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Avoriaz Praloup etc.
Quelques unes des stations de ski dangereuses. En France, l’avalanche exceptionnelle en secteur habité (d’occurence supérieure à 100 ans, jusqu’à 300 ans) n’est pas prise en compte par l’Etat, c’est à dire la ministre de l’Ecologie, d’une manière tout à fait consciente. Ce sont ces avalanches exceptionnelle en secteurs habités, celles qui ont tué déjà à Val d’Isère, 39 morts, Ortiporio, Corse, 34 morts ou Montroc Chamonix, 12 morts, qui ne sont pas cartographiées d’avalanche publiées par l’Etat dans les PPR (Plans d erpévention des risqes). Ce type d’avalanche exceptionnelle, est pourtant pris en compte depuis des décennies par l’ensemble de l’Europe de la montagne (Suisse, Allemagne, Autriche, Suède, etc.).
Pourquoi? Parce que les dirigeants de l’ANEM, association nationale des élus de montagne, s’y opposent et qu’en politique, on fait primer l’intérêt particulier de ses amis et non l’intérêt public.
Pourtant, ces zones d’aléas exceptionnelles laissent les terrains constructibles sans normes de construction particulières. Elles sont simplement à évacuer en cas d’alerte neigeuse intense, comme cela est fait régulièrement, chaque année, pour 1 à 2 millions d’habitants en Floride à l’annoce d’un ouragan ou ailluers en cas d’alerte Tsunami. En France, politque de l’autruche.
Deux personnes ont échappé à la mort le premeir février à Aulon en sortant des débris de leur bâtiment en zone non signalée comme dangereuse. Elle aurait du l’être puisque le secteur était connu comme dangereux (avalanche mortelle déjà tombée en 1603 qui avait rasé la presque totalité du villageL D’autres sont mortes à Ortiporio, Val d’Isère et Montron-Chamonix en 1934, en 1970 ou 1999 pour la même raison.
Coupable et responsable, l’Etat a dans sa mission d »afficher le risque, en particulier, depuis 2004, le risque d’avalanche exceptionnelle. Que de morts en sursis à cause d’une ministre qui n’a toujours pas décidé d’approuver le Guide méthodologique avalanches, pourtant à sa signature depuis des mois, et rédigé par la DGPR (Direction générale de la prévention et des risques) de son pro^re ministère, assistée des ministères de l’Agriculutre et de l’Intérieur et des services spécialisés de Val d’Isère et de Chamonix.
Le procès récent de Xynthia a montré récemment que dorénavant, ce genre de fonctionnement n’était plus admis par la Justice. Les procès du « sang contaminé » et du Médiator » l’avaient fait aussi dans d’autres domaines.
En France, à ce jour, 273 communes de montagne dont la plupart des grandes stations de ski françaies
La liste en est jointe dan sl’article associé à droite
Chamonix et 17 autres stations de ski en Hauta-Savoie, Hautes-Alpes et Alpes-Maritimes ont bénéficié, depuis peu, de la prise en compte de l’avalanche exceptionnelle dans leurs nouveaux PPR. Grâce soit rendu à leurs préfets, et à leur DDT, intelligents et responsables, qui ont pris sur eux, au vu du document à leur dispoosition, ce Guide méthodologique avalanche, de le prendre en compte malgré sa non officialisation par leur ministre, Madame Royal.
Ces stations sont les suivantes
Araches (Flaine) Belvédère, Briançon,
Chamonix, Isola, La Clusaz,
Le Grand-Bornand, Les Houches, Megève,
Molines en Queyras, Montgenèvre, Passy,
Pelvoux, Saint-Dalmas-le-Selvage, Saint-Etienne de Tinée,
Saint-Martin de Vésubie, Vallouise Contamines-Montjoie