Seuls les « politiques » s’opposent à la mise en oeuvre de ce concept nouveau de prévention des risques dans le domaine des avalanches urbaines.
Les deux présidents successifs de l’ANEM, Association nationale des élus de montagne, MM. Saddier, député de la Haute-Savoie (circonscription de Chamonix en particulier), et maire de Bonneville, et Nayrou, député de l’Ariège, se sont opposés à l’approbation définitive du Guide Méthodologique Avalanche, rédigé par une quarantaine de spécialistes de 4 Ministères à la suite du retour d’expérience de l’avalanche de Montroc-Chamonix de 1999. Celui-ci recommandait la mise en oeuvre des « zones jaunes » (zones d’Aléa maximal Vraisemblable) comme moyen d’échapper aux conséquences dévastatrices des avalanches rares mais très puissantes répertoriées dans le passé en zones urbaines.
Sont présentés, ci-dessous, par le biais de courriers de l’AIRAP à l’ANEM, les argumentaires développés par les deux présidents successifs de cette association au cours de divers rendez-vous tenues entre eux et l’AIRAP
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Courriers à l’Administration
Vous trouverez, en courriers joints, la quasi totalité des courriers adressés aux différentes instances administratives et politiques sur ce sujet depuis un an qu’il a été décidé au Ministère de l’Ecologie et du Développement durable de ne pas activer la Commission de réexamen de la quarantaine de couloirs d’avalanches de Chamonix.
Avalanches, Chamonix et les JO, un dossier inacceptable
L’AIRAP présente, dans le détail, à travers une note concrète la situation dans ce domaine et son caractère inacceptable
Note de la DGPR, importante et stupéfiante
Par cette note, la DGPR reconnait bien le fait qu’il est nécessaire de nommer une Commission de réexamen. En même temps, elle fausse le contexte de l’expertise d’une manière stupéfiante.
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